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7 results
  • Hâtez-vous de les lire!  J. M. G Le Clézio salue la littérature féminine sud-coréenne
    Hâtez-vous de les lire! J. M. G Le Clézio salue la littérature féminine sud-coréenne
    French(Français) Author Interview

    LE FIGARO LITTERAIRE / May 14, 2014

    Avez-vous lu les nouvelles de Kim Ae-ran, Baek Ka-hum, Ahn Yeong-sil, Jo Kyung-ran, Park Chan-soon, Kim Yeon-su, Choi Jin Young, Han Kang, Yoon Sung-hee, Pyun Hye-young ? Toutes écrites par des femmes (sauf une) de la Corée du Sud, appartenant (pour les neuf dixièmes) à la génération née après 1970 et cultivant un genre très apprécié en Corée, issu d’une longue tradition de la littérature féminine. 

  • Dix perles coréennes
    Dix perles coréennes
    French(Français) Author Interview

    LE MONDE DES LIVRES / April 25, 2014

    Parues entre 2000 et 2013, les dix nouvelles réunies dans cette anthologie comptent sans doute parmi les perles de la jeune littérature sud-coréenne. On aime, dans cet ensemble d’une belle unité, l’étrange cortège de héros malmenés sur lesquels reposent les récits : chauffeur de taxi égaré dans la >, ouvrière affrontant ses supérieurs, vidéaste à la dérive ou épouse délaissée.

  • Nocturne d’un chauffeur de taxi – Collectif
    Nocturne d’un chauffeur de taxi – Collectif
    French(Français) Author Interview

    Le Grenier à Livres / June 16, 2015

    La littérature en Corée commence bien souvent par la production de nouvelles. Genre particulièrement apprécié dans ce pays, la nouvelle est souvent l’occasion de remarquer un nouvel auteur par l’intermédiaire des revues ou de la presse. C’est ce genre majeur que les Éditions Philippe Rey ont choisi de mettre en avant avec le recueil Nocturne d’un chauffeur de taxi : des textes contemporains d’auteurs en majorité féminines (9 sur 10) qui donnent à voir une Corée moderne et l’intimité d’une société qui semble quelque peu en perdition.

  • Nocturne d’un chauffeur de taxi : immersion en Corée
    Nocturne d’un chauffeur de taxi : immersion en Corée
    French(Français) Author Interview

    Cafe Powell / June 16, 2014

    Si, en France, la nouvelle est un genre mineur et le roman est tout puissant, en Corée du Sud, elle est bien souvent le moyen le plus noble d’entrer en littérature. Les éditions Philippe Rey ont réuni quelques textes qui sont autant d’ouvertures sur un pays que le lecteur français connaît en général bien mal : toutes récentes, les nouvelles s’attachent à nous plonger dans un aspect toujours différent de la société coréenne : les traditions, les relations familiales, le travail, l’immigration sont autant de thèmes que traite le recueil. Nous découvrons une Corée bien éloignée des clichés du monde occidental : Séoul apparaît sous la plume des nouvellistes parfois bien inhospitalière, quand, par exemple, le héros de la nouvelle qui a donné son titre au recueil l’arpente en taxi. La vie malmène souvent les personnages que l’on rencontre au fil des pages.

  • Nocturne d'un chauffeur de taxi - Recueil de nouvelles coréennes
    Nocturne d'un chauffeur de taxi - Recueil de nouvelles coréennes
    French(Français) Author Interview

    Des flâneries et des mots / May 26, 2014

    Voilà plus de dix jours que je ne suis pas venue vous parler de mes dernières découvertes livresques, je suis désolé, mais ce mois-ci, mon rythme de lecture s'est considérablement ralenti et j'espère vraiment que cette baisse de régime ne vas pas durer trop longtemps ! Ce n'est pas que je n'ai pas envie de lire en ce moment, mais plutôt que je manque de temps... heureusement, je suis bientôt en vacances alors ça devrait aider ! Aujourd'hui je reviens avec un livre que j'ai reçu dans le cadre d'un partenariat avec les éditions Philippe Rey. Il s'agit d'un recueil de nouvelles coréennes paru le 24 avril 2014 sous le titre Nocturne d'un chauffeur de taxi.

  • Nocturne d’un chauffeur de taxi
    Nocturne d’un chauffeur de taxi
    French(Français) Author Interview

    keulmadang / December 05, 2014

    Tel un vieux néon cassé, qui clignote dans la nuit d'une ville déserte, comme un signal de veille, voici un recueil qui se charge de nous rappeler que derrière l'éclat scintillant de la prospérité, la réalité ne s'éteindra jamais.   La nouvelle est un instantané narratif qui, dans un ensemble juxtaposé, permet de portraiturer un état. Les auteurs coréens particulièrement versés dans cet art spécifique du récit, y excellent. Voici donc un ensemble de nouvelles réalistes, d’auteurs variés, contrepoint de la littérature fantastique, ou de la littérature de l’absurde, qui dresse le portrait d’une Corée populaire dont la vie quotidienne est subordonnée aux conditions de travail, aux traditions culturelles… Des pages de vie souvent monotone et triste, loin de l’image clinquante de la hallyu, des chanteurs de kpop, et des dramas sentimentaux. Des textes comme des courts métrages écrits par des auteurs hantés par la réalité d’une société dure avec ses travailleurs, avec ses femmes, avec ses couples, et qui, comme Kim Ae-ran*, écrivain aujourd’hui suffisamment publiée en France pour en être une représentante reconnue, en brossent un portrait sans concession, mais aussi sans misérabilisme, d’une honnêteté accablante.

  • Huit regards de femmes sur la Corée d’aujourd’hui
    Huit regards de femmes sur la Corée d’aujourd’hui
    French(Français) Author Interview

    keulmadang / January 21, 2012

    Pour nombre d’occidentaux, l’image de la femme asiatique et surtout de la femme coréenne ne s’éloigne guère du stéréotype de la femme soumise à son mari. On a vite fait d’accuser le confucianisme, qui place ouvertement l’homme yang, le Ciel, au-dessus de la femme yin, la Terre dans sa cosmologie, quitte à oublier qu’originellement la pensée de Confucius cherchait la complémentarité et l’équilibre nécessaire au bon fonctionnement du monde. On oublie aussi bien souvent que par le passé, avant le confucianisme, sous les 3 royaumes (-57 – 618) ou Silla unifié (682-936), les femmes étaient respectées et possédaient des droits équivalents à ceux des hommes : celui de se remarier, d’hériter, de participer au culte des ancêtres… Bel et bien aliénés sous la dynastie Yi, contrôlés et souvent enfermés comme les femmes elles-mêmes, ces droits subissent le néoconfucianisme et ses règles fermes, tout en sachant que rien ne dure. Avec l’ouverture à l’occident au XIXème siècle et l’arrivée du Christianisme en Corée, une vision égalitariste s’installe et ils reprennent leur statut. Ce n’était certes pas une évolution éthique, mais elle était nécessaire aux besoins.