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We provide news about Korean writers and works from all around the world.

12 results
  • 成年即贫困的韩国年轻人,决定不生孩子
    Chinese(汉语) Article

    搜狐 / September 09, 2019

    “蒋女士,您好,今天第一次在现场看到您。刚刚第一眼看到你的时候,有一种直接的感受,心动!”男读者接过麦克风,提高了音量。 蒋方舟从容地回应,而后笑笑说:“谢谢你对我心动。” 男读者复又站起身说,大声道:“是个男人都会!” 这是韩国作家金爱烂对谈中国作家蒋方舟的沙龙提问环节里,一个小小的花絮。

  • 生姜(センガン) 千雲寧著/橋本智保訳
    Japanese(日本語) Article

    週刊朝日 / July 21, 2016

    暴力性の問題に関心を抱き続けてきた韓国の女性作家が、軍事政権だった1980年代の韓国を舞台に描いた長編小説だ。 80年代の韓国は「アカ狩り」が唱えられ、罪のない人までが壮絶すぎる拷問を加えられていた時代だった。主人公のソニは自分の父が拷問技術者であるとはつゆ知らず、入学したての大学で幸せなキャンパスライフを思い描く。だが、父が人を殺しまでした悪名高い拷問技術者だと知ってから平和だった彼女の人生は奈落に落ちる。 Source: http://dot.asahi.com/ent/publication/reviews/2016072100057.html

  • "España significa flamenco, sol, playa y crisis en Corea"
    Spanish(Español) Article

    Malaga Hoy / October 29, 2013

    España es la Alhambra, la playa, el flamenco y... La crisis. Así nos ven en el décimo tercer país más rico del mundo: Corea del Sur. La escritora Cheon Un-yeong explicaba ayer, instantes antes de entrar en el seminario de literatura coreana que forma parte de la IV Semana de Corea que organiza la Universidad de Málaga (UMA), cómo las penalidades económicas españolas han dado la vuelta al mundo para convertirse en un elemento de la marca España junto a los grandes tópicos como el de la playa o el flamenco.

  • Cheon Un-yeong Adieu le cirque !
    French(Français) Article

    Libération / May 01, 2013

    Un «voyageur» : ainsi nomme-t-on le mari coréen des femmes «chosonjok», à savoir chinoises mais appartenant à une minorité d’origine coréenne. A la demande de leur mère mourante, deux frères se rendent en Chine dans une agence matrimoniale, afin de chercher une épouse pour l’aîné, dont les cordes vocales sont endommagées au point qu’il est inaudible.

  • Adieu le cirque ! – Cheon Un-yeong
    French(Français) Article

    Le Grenier à Livres / July 09, 2013

    Yunho accompagne son jeune frère Inho en Chine afin que ce dernier se trouve une épouse par le biais d’une agence matrimoniale. C’est que Inho a perdu la voix lors d’un accident et ses cordes vocales abîmées ne laisse désormais passer qu’un léger filet de voix. C’est Haehwa qui sera l’élue et rejoindra bientôt les deux frères ainsi que leur mère à Séoul.

  • Adieu le cirque !, Cheon Un-Yeong
    French(Français) Article

    La Cause Littéraire / July 13, 2013

    Le roman s’ouvre sur un spectacle de cirque en Chine. Deux frères assistent aux acrobaties qui se déroulent sur scène. Le lecteur ne connaît que la pensée de l’un des frères, Yunho, qui contemple le spectacle.   « Je regardais la scène, les bras croisés, bien résolu à rester de glace, quelque dangereux que fût le numéro réalisé devant mes yeux. La virtuosité de cette troupe d’acrobates chinois, qui arrachait des exclamations au public par une contorsion ou un pliement grotesque du corps, ne m’inspirait que pitié. Le cirque implique une prise de risque. Le cirque, c’est l’affranchissement des limites physiques par un entraînement infernal. C’est donc de la pitié, et non de l’émotion, que l’on éprouve au cirque ».

  • Adieu le cirque!
    French(Français) Article

    keulmadang / September 16, 2013

    Premier roman de l’auteure reconnue en Corée depuis les années 2000, voici un texte qui plonge le lecteur dans l’abîme des destins d’hommes et de femmes que les circonstances historiques et les contraintes contemporaines broient dans un étau impitoyable.   Inho aimait enfant se livrer à de multiples prouesses acrobatiques, pour amuser son petit frère, jusqu’au jour où un accident l’a privé de la parole, ne lui laissant qu’un filet de voix clownesque, ridicule, et même repoussant. Ainsi n’a-t-il jamais trouvé de femme. C’est pourquoi son frère Yunho l’accompagne en Chine, chercher une épouse parmi les chosonjok, ces coréens expatriés au fil des évènements de l’Histoire. Ils choisissent Haehwa. Discrète mais décidée, fragile et résistante à la fois, elle incarne l’abnégation propre à la femme coréenne d’autrefois. Dans son adolescence, un homme étrange la fascina avec l’histoire du royaume perdu de Balhae, avant de disparaître, emporté par l’errance de la quête d’un monde qu’il reconnaîtrait comme sien. Haehwa décide de se marier pour recommencer à vivre.

  • Les acrobates
    French(Français) Article

    LIVRES HEBDO / March 29, 2013

    Mariage arrangé et passions coupables entre Chine et Corée du Sud. Première traduction en français.   Ce premier roman de la Coréenne Cheon Un-yeong, 42 ans, nouvelliste à succès dans son pays, traduite pour la première fois en français, suit le parcours de trois personnages : deux frères coréens et une jeune femme, que les deux hommes ont rencontrée en Chine par l’intermédiaire d’une agence matrimoniale. L’aîné, Inho, un restaurateur qui a eu dans sa jeunesse les cordes vocales endommagées lors d...

  • Vers une famille nouvelle
    French(Français) Article

    keulmadang / June 12, 2009

    A la différence de la plupart des sociétés, les Coréens sont liés à la famille dans une mesure qui dépasse l’ordinaire. Une crise de conscience a poussé les Coréens, en tant que victimes de la colonisation et de la guerre, à rechercher surtout la tranquillité, la sécurité et le bonheur pour leurs familles. Néanmoins, à partir des années ’90, le modèle familial existant se confronte à la crise. C’est la génération des jeunes écrivains du 21e siècle qui capte et documente les signaux de ce changement.  

  • Love of the Missing: Modern Korean Fiction by Women, 1990-2010 | LIST
    English(English) Article

    list_Books from Korea / -

    Love of the Missing: Modern Korean Fiction by Women, 1990-2010   By Hur Yoonjin on Nov 11 2014 01:10:01 Vol.12 Summer 2011 As Korean women writers move beyond the label of “women” and are recognized as “writers,” a new aesthetic and modern concerns emerge.     Prior to the Enlightenment Period, Hangeul was often disdained in Korea— or more precisely, the Joseon era as it was known then—as “female writing,” meaning it was a writing system befitting only women. During the Enlightenment, however, Hanmun (classical Chinese), which had played the same role as Latin in East Asia, was replaced by the Korean vernacular, and Hangeul, which had previously been used only by the lower classes, naturally became the official writing system. In the hundred or so years since, women who used to be denigrated as yoryu (“female”) have distinguished themselves with their masterful use of artistic language. As modern education for women took deep root in Korean society, women became active beneficiaries of knowledge transmitted through language and, as a result, their self-awakening began to materialize. By the 1990s, women, no longer a minority in need of special protection, had emerged the mainstream in literature. Even in literary criticism, once the exclusive domain of men, women critics—who understood the value of women’s literature and could subject it to proper critical examination— became actively involved. The literature of women writers received such high praise and captured the attention of both the market and critics that the 1990s could even be called the decade of women writers.      There, a Petal Silently Falls Ch'oe Yun, Moonji Publishing Co., Ltd. 1992, 312p, ISBN 9788932005782